Présentation

Les As de la Grande Guerre

Plongez dans l'univers des pilotes de légende de 14-18 !

Halles de Mont-de-Marsan – Place du Général de Gaulle

Du 22 au 28 avril 2026 seulement !

Entrée libre et gratuite
Visites guidées – places limitées !
Plus de 500 visiteurs déjà conquis… Et vous ?

Organisé par l'UNC et l'ESPACE PATRIMONIAL ROZANOFF
avec le soutien de la Ville de Mont-de-Marsan
Venez percer les secrets de l’aviation pendant la Grande Guerre
Photobooth historique – souvenirs gratuits !

Les pilotes

Les pilotes

La Première Guerre mondiale marque le début de l'expérience historique qui montre qu'environ cinq pour cent des pilotes de combat sont à l'origine de la majorité des victoires aériennes dans les guerres, ce qui montre l'importance des as de l'aviation. Le titre d'as de guerre est développé en France à partir de 1916 par la presse pour désigner les aviateurs qui ont abattu cinq appareils ennemis ou davantage.

Tous les AS

1914-1918

Les AS

Des aviateurs de légende

Alors que le public s'émerveille des prouesses des pionniers de l'aviation, cette admiration se transforme lors de la Grande Guerre. Les as sont auréolés d'exploits qui reviennent sans cesse à travers deux métaphores : celle du « chevalier du ciel » domptant sa monture (avec toutes les valeurs associées à l'esprit chevaleresque : honneur, respect de l'adversaire, codes) et celle de la chasse, le plus aristocratique des sports. Cette image permet d'entretenir l'imaginaire d'une guerre "civilisée" malgré la violence des affrontements.
La Première Guerre mondiale marque le début de l'expérience historique qui montre qu'environ cinq pour cent des pilotes de combat sont à l'origine de la majorité des victoires aériennes dans les guerres, ce qui montre l'importance des as de l'aviation. Le titre d'as de guerre est développé en France à partir de 1916 par la presse pour désigner les aviateurs qui ont abattu cinq appareils ennemis ou davantage.

1888-1918

Maurice Boyau

Le rugbyman

né en 1888 à Alger, grandit en France et se distingue très tôt comme un athlète accompli, notamment en rugby, où il devient capitaine et joueur international. Après un service militaire couronné d’un titre de champion de France, il poursuit sa carrière sportive jusqu’à la Première Guerre mondiale. Mobilisé, il se reconvertit dans l’aviation, où il devient un pilote redoutable, spécialiste de la destruction des ballons d’observation ennemis. Boyau accumule les victoires et les exploits audacieux, devenant un héros national. En parallèle, il reste actif dans le sport militaire. Il est abattu le 16 septembre 1918 après sa 35e victoire, laissant derrière lui une image de courage et de panache.

1894-1917

Georges Guynemer

Le grand chevalier des airs

né le 24 décembre 1894 à Paris (16e arrondissement) et mort au combat le 11 septembre 1917 à Poelkapelle (Belgique), est l'un des pilotes de guerre français les plus célèbres de la Première Guerre mondiale.
Il remporte 53 victoires homologuées, plus une trentaine de victoires probables en combat aérien. Volant sur différents types de Morane-Saulnier, de Nieuport, de SPAD (VII, SPAD XII canon, SPAD XIII). Fait notable, il survit huit fois après que son avion a été abattu. Il est affecté durant sa carrière à l'escadrille Numéro 3 (MS 3, N 3 puis SPA 3), dite « Escadrille des Cigognes », unité de chasse la plus victorieuse des ailes françaises entre 1914 et 1918.
On le reconnaissait en vol par ses avions peints en jaune et baptisés « Vieux Charles ». Sa postérité vaut à Georges Guynemer de devenir le héros emblématique de l'École de l'Air, à Salon-de-Provence.

1894-1953

René Fonck

L'as des as

né à Saulcy-sur-Meurthe (Vosges) le 27 mars 1894 et mort dans le 8e arrondissement de Paris le 18 juin 1953, est un aviateur et homme politique français.
Pilote de chasse pendant la Première Guerre mondiale, il est surnommé l'« as des as » français et alliés, avec 75 victoires officiellement homologuées, selon le système français d'homologation de victoires aériennes, plus strict que le système allemand car nécessitant deux témoins oculaires étrangers à l'escadrille victorieuse.
Avec 27 citations sur sa Croix de guerre 14-18 (26 palmes et 1 étoile de vermeil), il est le combattant français le plus décoré de la Première Guerre mondiale.

1895-1916

Pierre Navarre

Médaille Militaire, Croix de Guerre 3 citations

né le 8 août 1895 à Jouy-sur-Morin (Seine-et-Marne) et mort pour la France le 15 novembre 1916 à Ermenonville (Oise), est un aviateur français.
Au début de la guerre, Pierre Navarre est d'abord officier puis engagé volontaire au 6e régiment du génie en décembre 1915. Il devient ensuite aspirant, grade qu'il garde en tant que pilote aviateur.
Il est titulaire de deux citations lors de son passage dans le Génie. Pierre Navarre est ensuite pilote de chasse sur le Nieuport 11 (dit « bébé ») à l'escadrille N 69.
Au cours d'un combat aérien, du côté de Verdun le 8 mars 1916, il contraint un avion ennemi à l'atterrissage. Il est vainqueur, mais reçoit trois balles dans le bras. Pierre Navarre est évacué sur l'hôpital de Bar-le-Duc. Cela lui vaut l'obtention de la médaille militaire et de deux citations.
Le 15 novembre 1916, alors qu'il est muté à l'escadrille N 67 où il aurait rejoint son frère Jean Navarre, il se tue par accident au cours d'un exercice aérien au Plessis-Belleville.

Les avions

Les avions

La Première Guerre mondiale voit le plein essor des premiers avions militaires, après de timides tâtonnements et utilisations avant guerre.

SPAD S.XIII SPAD S.XIII

Société de production des aéroplanes Deperdussin

Le SPAD S.XIII est un avion biplan de chasse monoplace français de la Première Guerre mondiale conçu par Louis Béchereau et fabriqué par la société SPAD.
La série des avions de chasse SPAD fut utilisée par de nombreux as français, italiens et britanniques, ainsi que par de nombreux autres pilotes alliés.

Nieuport 17 Nieuport 17

Nieuport

Le Nieuport 17 était un avion de chasse biplan français de la Première Guerre mondiale. Il fut développé par Gustave Delage (société Nieuport) et mis en service en mars 1916.
Le Nieuport 17 était dérivé du Nieuport 11, équipé d'un moteur plus puissant, d'ailes plus grandes et d'une structure plus soignée. Les premiers appareils furent dotés d'un moteur de 110 ch (82 kW), plus tard d'un moteur de 130 ch (97 kW).

Les constructeurs

Les constructeurs

La Première Guerre mondiale voit le plein essor des premiers avions militaires, après de timides tâtonnements et utilisations avant guerre.

SPAD

Société de production des aéroplanes Deperdussin

Constructeurs aéronautique français

La Société de production des aéroplanes Deperdussin (SPAD) est une société de construction aéronautique française créée en janvier 1911 à Bétheny, près de Reims. Rachetée par un groupe d'industriels en 1914, elle devient la Société pour l'aviation et ses dérivés, établie à Suresnes ; elle fusionne avec Blériot Aéronautique en 1921 en devenant Blériot-SPAD.
Blériot-SPAD ne survit pas aux nationalisations de 1936 du Front populaire. L'entreprise est absorbée par la Société nationale des constructions aéronautiques du Sud-Ouest (SNCASO).

1908

Nieuport

Constructeurs aéronautique français

La Société anonyme des Établissements Nieuport est une entreprise de construction aéronautique française disparue. Elle faisait suite à la Nieuport-Duplex et portait initialement le nom de Société Générale d'Aéro-Locomotion (SGAL), fondée en 1908 par Édouard Nieuport pour étudier et construire des aéronefs. Achetée en 1913 par la Famille Deutsch de la Meurthe, elle devint Nieuport-Astra à la suite de la fusion avec la Société Astra en 1921, avant de fusionner le juillet 1935 avec Loire Aviation sous le nom de Société Anonyme Loire-Nieuport.
En janvier 1937, cette société a rejoint la SNCAO à la suite de la loi de nationalisation des industries aéronautiques de 1936.

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Les photos ont été fournies par l'Espace Patrimonial Pozanoff

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